Comédien
LA THÉBAÏDE/JEAN RACINE Un Eteocle habité dans la nuit avignonnaise.
— ANNE UBERSFELD/AUTEUR
LE CADEAU D’EINSTEIN/VERN THIESEN Les deux comédiens Bernard Salva ( Einstein) et Manuel Sinor ( Haber) sont excellents de bout en bout et se livrent une joute mémorable.
— EVE-MARIE FORCIER/RADIO CANADA
RENDEZ VOUS ON THE ROAD/BERNARD SALVA Seul en scène, Bernard Sentimental Jerrycan s’ amuse de lui-même sans complaisance, sans souligner le trait. Il joue comme en se jouant de la difficulté et nous invite à le suivre sur la route.
— CHRISTINE OTTENWELTER/JOURNAL DE L,'ALLIANCE FRANÇAISE DE KUALA LUMPUR
RENDEZ VOUS ON THE ROAD/BERNARD SALVA Using vocal sound effects, few words and an empty jerrycan, Bernard Salva performs a gestural and intuitive show. This is refreshlingly strange, non realist drama about art and life that plays with narrative expectations, leaving some audience members befuddled and many delighted
— EDMONTON JOURNAL
SAVAGE LOVE/SAM SHEPARD Salva is an appealing leading man of the story Bernard Salva a un charme convaincant dans le premier rôle masculin de la piéce.
— EDMONTON SUN
L’AUGMENTATION/GEORGES PEREC Le travail de mise en scène est remarquable…Car Anne-Laure Liégeois et ses six comédiens exploitent l’ ironie des promesses vagues qui remplacent l’ augmentation , avec un talent quasi machiavélique.
— JOURNAL LA LIBRE BELGIQUE
L’AUGMENTATION/GEORGES PEREC Cette jeune metteur en scéne a su révéler une piéce intéressante et criante de vérité ainsi que de merveilleux acteurs.
— L' ÉVÉNEMENT DU JEUDI
AMOUR NUIT/PAUL CORNET Dans le court-métrage Amour nuit de Paul Cornet, la comédie et la tragédie se mêlent au rythme des averses nocturnes, au fil des tentatives de communication des deux amants. Bernard Salva dans le rôle de l’amant a quelque chose d’ émouvant et de touchant et Joanne Genini a un charme fou trés doux.
— JOURNAL PRESSE-OCÉAN
MON ISMÉNIE /LABICHE Au théâtre du Renard à Paris,Mon Isménie est joué , chanté et mimé avec verve et invention par les cinq comédiens. Bernard Salva fait parfois rôder l’ ombre d’ Arnolphe dans son personnage de Vancouver, père jaloux. .
— JOURNAL DU THÉÂTRE/JOURNAL LE POINT
HAMLET/SHAKESPEARE Dans le décor sublime du château de Roquetaillade, prés de Langon,Bernard Salva interpréte Hamlet avec beaucoup de sincérité jusque dans les débordements de la jeunesse insolente et vindicative du personnage. . Il fait de nous ses patients complices.Il ous émeut de son désespoir et de ses lamentations impuissantes,avant de nous balancer son livre à la tête. Le métier de spectateur est parfois dangereux. Cela frise l’ excés mais on est indulgent avec les excés de la jeunesse d’ Hamlet…
— MAJA LECOUVEY JOURNAL SUD OUEST
Metteur en scéne
SAVAGE LOVE/MON ADORÉ DÉMON Captivant, émouvant et viscéral, drôle. Bernard Salva a choisi une narration fragmentée et onirique qui se marie bien avec un théâtre physique et la présence de quatre danseuses sur le plateau. Un théâtre de qualité servi par le très beau texte de Shepard sur un amour fou et la puissance des interprètes . Un des meilleurs spectacles de cette édition du Fringe dont le bilinguisme et le jeu entre les deux langues sont aussi trés réussis.
— EVE-MARIE FORCIER/RADIO CANADA
SOLANGE ET AMINA/BERNARD SALVA Un théâtre d’ émotions et de questions, d’ une grande sobriété et retenue, dont le sujet ( un professeur tombe amoureux de son éléve) rappelle l’ affaire Gabrielle Russier en France.
— DORIS FILLON/LE FRANCO
INCENDIES/WAJDI MOUAWAD Un remarquable travail de troupe. Un théâtre d’ une grande sincérité et sans fard, dans le décor grandiose du haut-diois.
— JEAN FOURNIER/LE DAUPHINÉ LIBÉRÉ
LA CHAUVE-SOURIS/PIRANDELLO Un spectacle imaginatif . Un Pirandello intelligent et rafraîchissant …
— JEAN PIRIOU/RADIO ALLIGRE
THE MIRACLE WORKER/WILLIAM GIBSON Une mise en scéne trés physique, jusqu’ à une violence parfois dérangeante mais équilibrée par la partition comique du serviteur Viney qui trouve ici une place plus importante que dans la piéce écrite.Toute l’ équipe est excellente avec une mention spéciale au duo Annie-Helen d’ une intensité remarquable.
— STRATHMORE STANDARD
SAVAGE LOVE/SAM SHEPARD Drôle jusqu’ au grotesque et toujours émouvant: un voyage dans les extrêmes de l’ amour fou.
— SEE MAGAZINE
SAVAGE LOVE/SAM SHEPARD Savage Love /Mon adoré démon est un spectacle inspiré et drôle. Une captivante odyssée bilingue où le mouvement est omniprésent. Les danceurs/acteurs dévoilent leurs obsessions romantiques à travers un jeu physique remarquable.
— THE EDMONTON JOURNAL
Musique
TRANSPORTS
Un évènement musical vibrant , né au gré de rencontres transatlantiques entre musiciens canadiens et français, entre chanson française, musiques latines et folk.
— SANDRA GAGNON /LA CROISÉE DES CHEMINS/RADIO-CANADA
RÊVEUR ÉVEILLÉ
Le titre qui donne son nom à l’ album: Rêveur Éveillé est trés réussi.. Belle langueur aérienne avec une petite touche de litanie dans la forme qui évoque un bonheur calme. ça s’écoute très bien!!!
— BENOIT MICHAUD/RADIO-CANADA
RÊVEUR ÉVEILLÉ
Bernard Salva: une découverte. Trés belles chansons avec des textes forts.
— BÉATRICE GAUDET /RÉSEAU ARTISTIQUE DES GRANDS ESPACES/MANITOBA
TRANSPORTS
Onze titres qui regorgent de poésie et d’ images savamment sculptées. En moins d’ une heure on va de l’ Algérie jusqu’ au Canada en passant par Paris et Mallorca.Qui plus est , deux des titres sont des hymnes à son nouveau pays: Le long du fleuve Saint Laurent et Nouveau Monde. Pour l’ interprétation, Bernard salva opte pour une voix-confession, quelque part entre celle du diseur et du chanteur. Par moments , on entend Moustaki.Tout est dans le ton: précis, prenant, vécu.
— RONAL TREMBLAY/LE FRANCO
TRANSPORTS
Artiste aux multiples talents (comédien, metteur en scène, compositeur, chanteur, poète, écrivain…)
Son album Transports nous ‘transporte’ en une douce mélancolie musicale tissée entre les trois continents chers à ce voyageur infatigable.
— JULIEN COULON/MUSICIEN
Littérature
TOUT EST VRAI MÊME CE QUE J’AI INVENTÉ Pour une personne passionnée par la pratique du théâtre autant que par son abord théorique, et saisie par le grand mystère qui lie le théâtre à la vie, ‘ Tout est vrai, même ce que j’ai inventé’ de Bernard Salva est une œuvre courageuse et profonde, originale et légère. Le livre de Bernard Salva s’éloigne des livres autobiographiques du genre. Le théâtre est autant un baume qu’un excitant pour une vie meilleure. L’ouvrage en livre une démonstration magistrale, unique, dans une forme moderne et attachante. ‘ Tout est vrai, même ce que j’ai inventé’ est un roman autobiographique de Bernard Salva alerte et pénétrant, souvent drôle et émouvant.
Jamais je n’avais encore vu les sentiments éprouvés par un homme de théâtre, livrés ici avec une telle franchise, un tel détail de nuances, un tel foisonnement de ramifications désirées ou subies : oui, tout ceci ne peut qu’être vrai (comme le résume le titre) !
C’est un livre qui passionnera notamment tous les garçons et filles des grandes écoles artistiques qui souhaitent faire du théâtre leur métier.
— JEAN PIRIOU/JOURNALISTE ET AUTEUR
TOUT EST VRAI MÊME CE QUE J’ AI INVENTÉ Difficile de transcrire les 12 coups rapides suivi des 3 annonçant le début de la représentation. Coup de théâtre littéraire ? Allez savoir… L’auteur annonce la couleur : 9 récits évoquant, racontant, décrivant, décryptant le travail théâtral. C’est très précis, documenté et surtout parfaitement crédible, parce que l’on sent très bien que le réel est passé avant la plume. Certes, certains lecteurs moins habitués des planches seront dépassés par certaines références, mais l’artiste excelle dans l’art de rendre disponible ce que l’on ignore avec des images fortes. Les comédiens en collant expérimentant l’expression corporelle. La comédienne qui refuse de faire du théâtre assis… Au delà du théâtre – ou avant et surtout après, peu importe – il y a la vie. La vie qui est le miroir de l’acte dramatique, à moins que ce soit l’inverse. Ce jeu de reflet déstabilisant que l’artiste propose, nous invite à lire les scènes à travers le miroir déformant de l’art, la transparence du réel ou bien l’absence de tain qui efface les frontières entre le rêve et le réel. “Tout est vrai même ce que j’ai inventé” : le titre est parfaitement choisi. Que serait le théâtre sans la vie ? Ici, elle prend souvent le chemin de la séduction, de l’intime et de la relation charnelle. Elle est pour le coup très réelle, très concrète et laisse des images fortes dans la mémoire. le jeu sur la forme “à la manière de…” est très bien fait. Comment décrire une relation sensuelle à la manière de Duras ou de San Antonio ? Au de-là d’humour implicite de l’exercice de style, l’auteur nous fait la démonstration que tout est question de point de vue. Quant au faits, à chaque lecteur d’en juger. Pour ma part je suis rentré dans chaque histoire, chaque oeuvre, chaque référence, chaque chanson, chaque citation, chaque clin oeil. Tout est vrai. L’artiste excelle dans l’art du mentir vrai ou du faux mensonge… Quoi qu’il en soit, je me suis régalé. Relire Hamlet, la Mouette, Koltès ? Pourquoi pas. Cette invitation à relire, revivre, redécouvrir, revisiter l’art dramatique à travers la littérature, pour mieux profiter de la vie. Bravo à l’artiste et merci à Stellamaris pour son engagement éditorial qui sort des sentiers battus.
— THIERRY MORAL/AUTEUR
TOUT EST VRAI MÊME CE QUE J’AI INVENTÉ J’ai aimé rencontrer cet univers, et tous ces mondes qui le composent : une époque, une autre, un lieu, une femme, une autre femme, une pièce de théâtre, un morceau de musique, une éclipse, une étoile, un autre lieu, le même désir, une autre femme, un récit, puis un autre, 9 nouvelles, déjà lues, et une présence qui reste en creux de tout cela : un auteur très singulier, qui dévoile ouvertement certains moments intimes, et qui conserve néanmoins la pudeur d’un rythme haché pour ne jamais s’exhiber longuement. Comme s’il taillait dans son expérience les moments les plus vifs, les souvenirs racontés (inventés ou non) semblent être ceux dont l’émotion affleure et le désir tournoie, ceux où la réplique digérée s’impose à la bouche et le refrain vient par l’oreille, ceux où le sentiment d’existence concentre son sel. En tant que femme, c’est toujours pour moi une expérience très forte de lire dans la voix d’un homme qui se raconte sensiblement. Un fascinant mystère, qui se laisse approcher autant qu’il se renforce, pour moi, tout au long de la lecture. Sans chercher à imposer un style sophistiqué, l’auteur manie les rythmes avec talent. Ses décors, il les pose en quelques mots. D’une ambiance, d’une silhouette sortent une femme, un souvenir, une émotion… Les ellipses et les ruptures ont la politesse de réserver parfois la plus grande densité au silence, et à l’après-texte, ce qui résonne encore après la lecture. Il y aurait de quoi attendre les prochains livres ! Je trouve celui-ci très réussi.
— CLAIRE FERRAND/LECTRICE ET PROFESSEUR
DALIA UNE ODYSSÉE La forte présence d’immigrants et de nouveaux arrivants au sein de la francophonie albertaine redéfinit notre identité collective. Elle fait partie de notre réalité et la création théâtrale doit explorer cette réalité et nous inviter ainsi à réfléchir sur ce que nous sommes en tant que collectivité, que ce soit à l’échelle communautaire ou planétaire C’est ce que Dalia, une odyssée a tenté de faire avec une audace remarquable pour créer de toutes pièces une œuvre d’une grande pertinence dans un paysage théâtral où elle se faisait attendre depuis longtemps déjà.
— LOUISE LADOUCEUR - PROFESSEUR DE THÉÂTRE AU CAMPUS SAINT JEAN-EDMONTON-CANADA; MAKING THE SCENE : LA TRADUCTION DU THÉÂTRE D'UNE LANGUE OFFICIELLE À L'AUTRE AU CANADA (PRIX GABRIELLE-ROY 2005, ANN SADDLEMYER AWARD 2007)
DALIA UNE ODYSSÉE J’ai été émue par votre pièce de théâtre Dalia, une odyssée, que j’ai lue à la Bibliothèque Nationale du Québec pendant un séjour à Montréal cet été. Les personnages étaient si puissants et les histoires multiples étaient merveilleuses. Je vous remercie pour ce beau travail.
— JULIETTE M. ROGERS, EDITOR, WOMEN IN FRENCH STUDIES PROFESSOR OF FRENCH & FRANCOPHONE STUDIES MACALESTER COLLEGE-SAINT PAUL-USA
DALIA UNE ODYSSÉE Dalia, une Odyssée est sans conteste un texte vers le théâtre et pour le théâtre. C’est un texte écrit pour ceux qui veulent et aiment jouer et il n’est pas étonnant que l’auteur soit lui‐même acteur. L’écriture de Bernard Salva appelle le théâtre car dans sa vivacité elle appelle le désir de jouer, de « dire ». Dalia est un morceau de vie, de temps et de traversées où se mélange le rire, la peur, le courage; où se croisent et se côtoient des personnages et des mondes différents. La pièce donne à réfléchir sur nos différences, sur notre capacité à vivre ensemble, à s’écouter et à s’aider. Une odyssée qui est aussi un cri d’amour.
— CÉLINE SCHAEFFER METTEUSE EN SCÈNE, PLASTICIENNE, COLLABORATRICE DE VALÈRE NOVARINA
TOUT EST VRAI MÊME CE QUE J’AI INVENTÉ Une belle écriture poétique,sensuelle et labyrinthique.. Cet ouvrage se lit comme on savoure un darjeeling avec un mchekla devant le lac Louise… On se laisse porter par la verve discrète et onctueuse de l’auteur qui joue à son propre théâtre dont il est l’auteur,le metteur-en-scène,l’acteur et le spectateur. C’est l’oeuvre d’un écrivain bien plus qu’un auteur.
— PAUL ANDRÉ SAGEL/AUTEUR , COMÉDIEN , PROFESSEUR AU CONSERVATOIRE NATIONAL D' ART DRAMATIQUE
Professeur de théâtre
‘ Doté d’ un naturel sympathique et de talents artistiques indiscutables, Bernard a rapidement imprimé son style dans notre Campus, s’ attirant à la fois la considération de ses collè gues et l’ adhésion des étudiants. De plus Mr Salva est très présent au côté des communautés ethno-culturelles de notre ville’.
— Marc Arnal, Doyen du Campus Saint Jean /Université de l' Alberta/Canada
‘Animé d’ un esprit d’ ouverture et de partage, d’ un sens de la pédagogie et d’ une réelle qualité humaine qui le rend attentif à ceux dont il est responsable. Il manifeste un trés grand intérêt aux questions posées par la transmission de sa pratique et n’ hésite pas à se remettre en question’.Evelyne Panato/Directrice de la Maison du geste et de l’ image/France ‘ Doté d’ un naturel sympathique et de talents artistiques indiscutables, Bernard a rapidement imprimé son style dans notre Campus, s’ attirant à la fois la considération de ses collè gues et l’ adhésion des étudiants. De plus Mr Salva est très présent au côté des communautés ethno-culturelles de notre ville’.Marc Arnal, Doyen du Campus Saint Jean /Université de l’ Alberta/Canada ‘ Mr Salva is an artist with much talent and knowledge. A teacher who has high expectations of the students and pushes them to excel. He strives for improvements and greater effectiveness in his teaching’.Margaret Van Dyke /Rosebud School for the arts/Canada ‘ Bernard ( théâtre) et Fabienne ( danse contemporaine) grâce à la maîtrise remarquable de leur discipline respective, leur sens du dialogue et leur efficace complémentarité, ont acheminé sans peine nos éléves vers l’ exercice final’Isabelle Mitrovista, professeur agrégé de lettres/collége Hector Berlioz/MGi/France ‘ Le choix de travailler sur des textes de Michaux n’a pas manqué de susciter des réticences, que le travail dramaturgique a fait sauter une à une. Bernard Salva propose une inventivité et une recherche permanente, une dynamique constante entre l’ approche ludique et l’ exigence d’ accomplissement. Sans compter sa culture et son amour de la littérature’ .Eric Duchatel/Professeur agrégé de lettres/Lycée Fénelon /MGI/France ‘As a teacher and theatre person , I was especially impressed by his approach and attitude towards teaching which showed in the students’ enthusiasm , discipline and progress’.Giresh Desai /Director of programs/ Kala Kendra theatre school/ Bombay /Inde ‘Enseignant hors pair, ce professeur est aussi envahi par un amour de la langue française qu’ il sait transmettre à qui le côtoie’ Mathilde Effray-Buhl/Enseignante école Michaelle Jean/Edmonton /Canada
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